Journal tv France 3 Télévision - Le passage du périphérique à 50km/h

En ralentissant la circulation, les autorités espèrent inciter les automobilistes à adopter des comportements plus responsables, tout en protégeant mieux les piétons et cyclistes.

Réduction de la vitesse à 50 km/h sur le périphérique : une initiative de la Mairie de Paris

La réduction de la vitesse maximale sur le périphérique parisien à 50 km/h a été initiée par la Mairie de Paris, sous l’égide de la maire Anne Hidalgo. Cette mesure vise à améliorer la qualité de vie en réduisant la pollution et le bruit, tout en promouvant des modes de transport plus durables. Elle s’inscrit dans le cadre du Plan Climat de la Ville de Paris, visant à atteindre la neutralité carbone d’ici 2050, et a bénéficié du soutien d’acteurs locaux et d’associations environnementales.

Réduction de la vitesse sur le périphérique à 50 km/h : vers un impact immobilier ?

Depuis l’abaissement de la vitesse maximale autorisée sur le périphérique parisien à 50 km/h, la question de l’impact de cette mesure sur la qualité de vie et le marché immobilier alentour se pose. En effet, cette nouvelle limitation, promue pour diminuer les nuisances sonores et améliorer la sécurité routière, pourrait indirectement influencer la demande immobilière dans les zones adjacentes au périphérique.

Reportage de France 3 : Est-ce que la réduction de la vitesse à 50 km/h sur le périphérique peut dynamiser le marché immobilier autour de l'anneau routier ?

C’est la question que France 3 Télévision nous a posé la semaine dernière ! Reçue au sein de notre agence CENTURY 21 à Vanves, l’équipe de journalistes à interroger Benjamin Berdah, directeur de l’agence, pour analyser si cette réduction de vitesse pourrait dynamiser le marché immobilier autour de l’anneau routier.

Selon ce dernier, malgré la réduction de la vitesse, le bruit et la pollution demeurent des problématiques majeures et les prix au mètre carré ne vont probablement pas augmenter suite à cette mesure.

Le périphérique reste une zone très fréquentée, et la circulation intense, même à une vitesse réduite, génère toujours un niveau sonore élevé qui peut être dérangeant. De plus, la pollution reste un enjeu préoccupant pour les résidents de ces zones. Ces facteurs peuvent dissuader de potentiels acheteurs, qui préfèrent souvent des quartiers plus calmes et moins exposés aux nuisances.

Par ailleurs, la question du vis-à-vis est également à prendre en compte.

Vous trouverez au sein de cet article un extrait du journal ICI 19/20 de France 3 TV.

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